Une chanson composée par un rappeur faisant partie des lauréats du concours organisé par le centre culturel pour la préservation de la culture Bubi est à l’origine de cette campagne mensongère. Une chanson que les autochtones Bubi trouveront tribaliste vu son contenu qui visait un groupe ethnique particulier, le groupe Fang, alors que ceux-ci vivent harmonieusement depuis des générations. Et que c’est souvent sous l’instigation de personnes habitées par la haine que cette harmonie a pu être menacée il y a plusieurs années et a abouti à des troubles mortels. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, ces autochtones Bubi, vigilant, ont donc décidé de mettre un terme à l’action de ces manipulateurs et ont demandé le changement à la tête du centre culturel.
De Diario Rombe à El confidential, le mensonge n’a qu’un but : assouvir leur volonté de déstabiliser les institutions par la violence. Un objectif que Severo Moto et de personnes parfaitement irresponsables, caressent depuis des décennies. Il appartient aux populations de détecter ces manipulations et comprendre qu’elles n’ont qu’une visée, c’est d’enflammer la Guinée Equatoriale, et mettre un frein à ses avancées considérables. Car la violence est toujours lourde de conséquences.
Infrastructures, aire de sport, et logements sociaux…
Il n’est pas inutile de rappeler que la tentative d’organiser des troubles à Rebola et la campagne mensongère qui ont suivi ont eu lieu un mois après que le président de la Guinée Equatoriale ait été accueilli dans ce village et après les fêtes du 3 août 2015 où le président a présenté la nouvelle ville de Djiboloho comme capitale administrative de la Guinée Equatoriale. Resurgissement de vieux démons séparatistes que l’on croyait d’un autre âge. Toute chose que les autorités Equato-guinéennes n’admettent pas. Ces derniers réaffirment l’unité de la Guinée-Equatoriale.