Au sujet de cette mascarade qui dure depuis déjà 10 ans , plusieurs hautes personnalités en Guinée Équatoriale , et bien d'autres missions diplomatiques à travers le monde s'étaient insurgés contre cette procédure boiteuse . Pour le plus grand nombre , c'était la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase . Les observateurs avertis étaient bien informés sur les motivations péjoratives des associations Sherpa et Transparency International désormais considérées comme une tour de pise , sans aucune objectivité , et sans prendre le temps de mener des enquêtes sérieuses.
La Guinée Équatoriale ayant fait appel à la Haute Cour Internationale de justice qui est l'institution habilitée à traiter ce genre de dossiers en toute transparence, et à trancher définitivement le problème. A ce moment précis , la procédure engagée sur les Supposés Bien Mal acquis en France n'a plus lieu d'être , c'est en somme une perte de temps pour les différentes parties. C'est suite à cette observation fondée , que la Guinée Équatoriale a fait observer cette ambiguïté à la Cour Internationale de justice de la Haye , tout en lui demandant de sommer la France de suspendre dans les plus brefs délais toutes les procédures engagées contre le Vice-président de la Guinée Équatoriale. Ce qui est tout à fait logique .
Depuis plusieurs années , cette procédure des biens mal acquis foule au pied les droits de la Guinée Équatoriale en tant que pays souverain . De ce fait , ne pouvant plus cautionner un tel acharnement , dans sa requête auprès de la Haute Cour Internationale de la Haye , les autorités Equato-Guinéennes estiment que l'entêtement du tribunal Français pourraient avoir des conséquences irréversibles et irréparables au regard du lourd préjudice moral envers un État digne de ce nom . Du coup ,l'introduction de nouvelles procédures contre Teodoro Nguema Obiang Mangue , pourrait aggraver la controverse soumise à l'appréciation de cette haute cour . Le 42 avenue Foch à Paris , au lieu d'être l'objet de polémique , la France devrait par contre garantir ses droits et sa souveraineté, car elle abrite la mission diplomatique de la Guinée Équatoriale.
Pour que la vérité triomphe sur ce procès , le tribunal français doit laisser la Cour Internationale de justice de la Haye faire son travail en toute impartialité afin que seule la justice triomphe. Cet appel sera t-il entendu ? Surtout si les motivations de cette procédure en France ne sont pas saines ! Qui vivra verra !