Ainsi dans une récente production sous le titre « La oposición Guineana debe informarse sobre el proceso judicial de Teodoro Nguema en Francia » invite l’opposition à mettre en place une commission en vue de s’associer à des juges français sur l’affaire judiciaire impliquant le Vice-président de la République, Teodorin Nguema Obiang Mangue. En somme, le factotum qui sert de prête-nom à diverses organisations qui se sont associées pour vilipender le régime Equato-Guinéen, appelle aujourd’hui l’opposition à œuvrer aux côtés des juges français en vue de soutenir ce procès. Etrange de la part de ce pseudo journaliste qui s’improvise dans le leadership de l’opposition Equato-guinéenne.
D’une part, Delfin Mocache montre qu’il ne sait rien du dossier en question, auquel cas il aurait au moins indiqué aux opposants le nom des juges français en charge de cette affaire. Ainsi ces derniers sauraient à quelle porte frapper. D’autre part, il est inutile de rappeler au señor Delfin que la Guinée-Equatoriale a pris le dessus dans cette affaire avec la saisine de la Cour Internationale de Justice de la Haye, et ce en application de l’article 22 de la Convention de Viennes. Car la France au nom de cette convention, devait protéger les édifices de la mission diplomatique Equato-Guinéenne. Ce qu’elle n’a pas fait.
Certainement que le factotum de Diario Rombe se sent en phase avec cette forme de transgression où des juges d’un pays peuvent allègrement se rendre dans le domaine d’une mission diplomatique accréditée, c’est à dire dont les Lettres de créances ont été acceptées par le pays d’accueil, et ramasser tout ce qui s’y trouve au nom de la Justice de cet Etat.
Cette affaire est au-delà des petites frappes d’activistes sans étoffe. Est-il utile de rappeler aussi au factotum de Diario Rombe que ses amis de l’opposition notamment la CORED-PP qui vit en Espagne avec lui, manipulés par l’avocat Bourdon, avait monté une association appelée Association-CORED dans le but de capter les fonds issus de la vente des biens saisis au 42 Avenue Foch, siège de l’Ambassade de Guinée-Equatoriale en France. Mais que cette association avec Bourdon s’est soldée par un cuisant échec. La preuve aujourd’hui est la distance qu’on observe entre cette opposition, regroupée au sein de la CORED-PP, et l’avocat Bourdon instigateur de ces manigances.
Toute chose qui montre l’incongruité d’un petit malicieux excentrique appelé Delfin Mocache. Encore faut-il avoir des arguments et des preuves solides à mettre à la disposition de…son opposition. Que ne peut avancer ce mythomane !