Selon cet homme fini, laotravoz.info est financée par le régime de Malabo. Ses animateurs seraient des membres du parti d’Omar Bongo résidant en France depuis très longtemps, ils rouleraient carrosse ; ils posséderaient ainsi des résidences cossues avec Parking et grosses cylindrées. Cela s’appelle, des « Severoiseries », entendez des vues d’esprit à la Severo aux antipodes de la vérité.
Il est d’abord important de souligner que le site laotravoz.info est un site indépendant qui a choisi librement de regarder les réalisations d’un pays qui se transforme, parce que c’est une chose inhabituelle dans ces Afriques où l’on a souvent vu des leaders s’occuper d’eux mêmes uniquement au lieu de travailler leur pays et de redonner la fierté à leurs peuples. C’est donc le choix que ces africains de diverses nationalités ont fait.
Ce groupe s’est mis en place pour apporter une vision réelle de ce pays qui, à la différence de ses pairs de la sous-région montre un dynamisme exceptionnel et se transforme plus vite qu’eux. La nécessité d’apporter la contradiction aux sites comme El Confidencial, animé par des gens qui continuent de regarder l’arrière cour des cuisines de leurs villages, pour persister à vouloir faire croire que rien n’évolue en Guinée-Equatoriale.
Quant aux financements, laotravoz.info s’inscrit en faux sur les thèses fumeuses de Severo Moto, dont l’intolérance et l’inconsistance sont patents. Laotravoz.info n’a pas besoin de financements occultes.
Ce qui dérange l’ex propagandiste c’est le fait qu’une voix et un regard différent du même pays s’est imposé à lui. Severo Moto, homme du passé se souvient de la couleur du pays que son lider maximo, Messiè me Nguema dirigeait d’une main impitoyable. Cette Guinée-Equatoriale est dépassée depuis longtemps. Elle a fait place à une Guinée-Equatoriale nouvelle.
Le véritable drame de Severo Moto Nsa est de se voir imposé une autre voix, un autre regard, en somme un regard alternatif sur les réalités Equato-Guinéennes d’aujourd’hui. D’ailleurs l’on se demande ce qu’il fait encore en Espagne, car s’il veut réellement jouer un rôle politique, même à bientôt 76 ans c’est de retourner dans son pays natal. Car ce n’est pas à travers des mensonges qu’on mobilise, mais à travers des propositions claires et une perspective à proposer aux populations.