L'accueil
L'Allemagne cherche à rattraper son retard en Afrique. En dépit d'un volume de transactions commerciales annuelles avec l'Afrique atteignant les 60 milliards de dollars, l'Allemagne traîne derrière la France ou encore la Chine qui ont déployé davantage d'efforts pour saisir des opportunités commerciales. Le retard se voit également à travers une présence sporadique sur le contient. En effet, sur les 10 milliards de dollars d'investissements allemands sur le continent chaque année, 90 % se concentrent sur seulement trois pays : l'Afrique du Sud, le Nigeria et l'Algérie. Et c'est exactement la raison qui motive l'organisation par la première économie européenne, du premier forum Allemagne-Afrique dans l'objectif de familiariser ses entreprises avec le continent et à diversifier leurs placements.
Les entreprises allemandes ne réalisent que 2% de leur CA en Afrique
Les investisseurs allemands considèrent déjà que l'Afrique représente un marché mûr, qu'il s'agisse de PME ou de géants industriels. Les entreprises allemandes montrent déjà un intérêt certain pour des régions où leurs compétences et leurs technologies peuvent apporter de la valeur. De plus, le moteur de la croissance européenne a fortement besoin de toucher de nouveaux marchés. En Afrique, leurs entreprises ne réalisent que 2 % de leurs activités.
Pourtant, 6 des 10 économies à la croissance la plus rapide dans le monde se trouvent sur le contient. Selon les experts, cette tendance devrait rester stable jusqu'en 2040. Un horizon qui pourrait voir la croissance allemande s'essouffler. Son forum annoncé pour le 23 mars 2017 à Francfort, essaie justement de « combler le fossé » en facilitant le dialogue, les relations d'affaires et les échanges commerciaux et politiques dynamiques.
Responsables politiques et acteurs privés à l'honneur
Plusieurs personnalités ont d'ores et déjà confirmés comme intervenants durant l'événement. Il s'agit notamment de Charles Huber, député et membre du Comité allemand de coopération économique et de développement, Okechukwu E. Enelamah, ministre de l'industrie, du commerce et des investissements du Nigeria ; Gabriel Mbaga Obiang Lima, ministre des mines et des hydrocarbures de la Guinée équatoriale, et Carole Kariuki, PDG de l'Alliance du secteur privé du Kenya.
Avec la tribune afrique
Les entreprises allemandes ne réalisent que 2% de leur CA en Afrique
Les investisseurs allemands considèrent déjà que l'Afrique représente un marché mûr, qu'il s'agisse de PME ou de géants industriels. Les entreprises allemandes montrent déjà un intérêt certain pour des régions où leurs compétences et leurs technologies peuvent apporter de la valeur. De plus, le moteur de la croissance européenne a fortement besoin de toucher de nouveaux marchés. En Afrique, leurs entreprises ne réalisent que 2 % de leurs activités.
Pourtant, 6 des 10 économies à la croissance la plus rapide dans le monde se trouvent sur le contient. Selon les experts, cette tendance devrait rester stable jusqu'en 2040. Un horizon qui pourrait voir la croissance allemande s'essouffler. Son forum annoncé pour le 23 mars 2017 à Francfort, essaie justement de « combler le fossé » en facilitant le dialogue, les relations d'affaires et les échanges commerciaux et politiques dynamiques.
Responsables politiques et acteurs privés à l'honneur
Plusieurs personnalités ont d'ores et déjà confirmés comme intervenants durant l'événement. Il s'agit notamment de Charles Huber, député et membre du Comité allemand de coopération économique et de développement, Okechukwu E. Enelamah, ministre de l'industrie, du commerce et des investissements du Nigeria ; Gabriel Mbaga Obiang Lima, ministre des mines et des hydrocarbures de la Guinée équatoriale, et Carole Kariuki, PDG de l'Alliance du secteur privé du Kenya.
Avec la tribune afrique
