La victime a assuré aux médias qu'il est un homme d'affaires issu du monde de l'hôtellerie et s'est rendu au Cameroun pour ouvrir un restaurant italien ; À son arrivée au Cameroun, selon son récit, il a été extorqué par les Camerounais qui ont emporté l'argent qu'il transportait pour investir dans cette entreprise et la documentation.
« J'ai quitté mon pays pour Ebolowa, quand je suis arrivé là-bas, je suis allé dans un supermarché pour faire un achat. Là, un homme s'est approché de moi et m'a attrapé par le bras en me disant que je te connais, en disant que je lui avais vendu deux groupes électrogènes à Kribi, ce qui est un mensonge, mais l'homme a insisté et assuré qu'il avait des photos de moi et de mon plaque d'immatriculation dans sa position. Il m'a demandé un million de francs pour ne pas m'emmener à la police, et je lui ai dit que je ne sais pas pourquoi je devrais lui donner cette somme d'argent."
Face à cette situation, l'homme d'affaires a été contraint de fuir le Cameroun, de la ville de Douala à la ville frontalière de Kie Osi. Tocamella assure avoir subi des traitements inhumains lors de son séjour dans le pays voisin.
Après les événements et voyant que sa vie était en danger, il a décidé de se rendre en Guinée équatoriale, la considérant comme un pays sûr, stable et accueillant.
Source: Ahoraeg