Une autre arnaque intellectuelle pour un avocat qui se doit d'être un modèle. William Bourdon, déguisé en piètre opposant , brille dans l'escroquerie et n'hésite pas à solliciter l'aide de ses réseaux en Suisse pour pondre des articles mensongers qui ne cadrent nullement avec le déroulement des faits. L'éthique journalistique recommande pourtant de traiter une information avec neutralité sans prendre partie mais surtout de mener au préalable une enquête minutieuse afin d'éviter d'en arriver à la diffamation comme c'est le cas avec cet article sur la saisie des voitures de Teodoro Nguema Obiang qui est un vrai torchon.
La rédaction de Laotravoz dans un souci de recadrage de l'information s'est rapprochée de certaines autorités Equato-Guinéennes pour s'enquérir de la vraie version du déroulement de cette affaire de saisie des voitures sur le tarmac de l'aéroport Cointrin.
Cet article est un énième coup médiatique de la France qui poursuit sa basse besogne et d'effet de propagande sur le dossier des biens mal acquis pour tenter de généraliser la pression et trouver un moyen d'influencer les juridictions internationales, avec en plus des promesses diplomatiques non tenues . La Guinée Équatoriale quant à elle , attend sereinement et avec une dignité légendaire la décision de la Cour Internationale de Justice.
Au sujet de cette rocambolesque affaire de saisie des véhicules de Teodoro Nguema Obiang Mangue , après une vérification minutieuse des informations en notre possession , il en ressort que le vice-président n'a procédé à l'achat d'aucune voiture en Suisse pour les exporter en Guinée Équatoriale. Ces journalistes proches de Bourdon n'ont aucun document officiel en leur possession pour appuyer leurs propos diffamatoires. Nous les mettons à l'épreuve de nous présenter un seul document qui prouve que ces voitures appartiennent à Teodoro Nguema Obiang Mangue. De plus , comment ces véhicules se sont t-ils retrouvés subitement en plein tarmac de l'aéroport de Cointrin ? Et dans quel but ?
Selon des sources concordantes , ces véhicules appartiennent à une société Equato - Guinéenne bien en règle et spécialisée dans la vente des voitures , avec pour nom "OTON" , laquelle effectue pourtant régulièrement des entretiens de ces véhicules compte tenu de la spécificité des marques avec des plaques d'immatriculation de la Guinée Équatoriale BN 669 AI (BIOKO NORTE 669 AI ) . De plus , les entrées sur le territoire suisse se font en toute légalité. Donc la saisie de ces véhicules n'a pas lieu d'être. On s'étonne donc de ce tapage médiatique qui a une forte odeur de complot qui vise directement la Guinée Équatoriale.
Teodoro Nguema Obiang au courant de ces manigances, a automatiquement saisi un avocat dans le but de traduire en justice le journal hebdo pour calomnie aggravée !
C'est un dossier brûlant à suivre de très près !!!
P. Agnigna